La pencetta de l'Ajournée

 

Sète en postant qu'onde vient postillon 

  tut vient tape pouing à ski 7 ta tendre  

Il fô harras jouter de l'avis aux ânes nés énon des ânes nés à l'avis
 

île niack deux visions  dum onde ,  sel Kim mort-sel,   aisselles ki unit   


 
Pôle val et Riz  

  pare *roll* de Moizo l'Acelte   

  
 

  
 

maydé zir sonde désordre     
     

Médée z'or Dreux fondé z'or dreux  
 
  

 

Sade or u kua !
7 ta prentch jé ressu tune sea ta scion, en voie yé parla  fifi de la sea ( la sea cé moua ) kid dix :
tout Tom haie tir-rayé antre 2 boeuf zoing  
la pie rogue Sète ta dire le boeuf zoing du foiyach   Larra-ch'aimant ta soie maime  

et larbre , Sete tadir le boeuf zoing d'élan- rat -si -n'aimant Eddy- dent-tity  

lèse hom hère const'amant   entre s'aideux boeuf zoing tan s'aidant tanto t'alun   tanto talotre  

jusko jur ou ils comprennent ke Sete tavec larbre kon fa brique la pire ogue    

messuige bien fête conprendre ?    

Couak île ensoie, Jean Nez Boeuf zoing

... deux sea-t'actieun's pûr today ( hyèna biiiiien besuin  ) :

« La plus grande tragédie de la vie n’est pas la mort, mais ce qui meurt en nous tandis que nous vivons. » de Norman Cousins  

« Le pardon ne change pas le passé, mais il élargit l'avenir. » de Paul Boese. ( et en complément d'objet très direct , celle-ci tossi :

« Pourquoi devrions-nous explorer le passé quand il s'agit de préparer l'avenir ? Parce que c'est le seul endroit où regarder. » de James Burke )  

Conclusieun's optimiste  :

« Nous devons être prêts à nous débarrasser de la vie que nous avions prévue, de manière à avoir la vie qui nous attend. »  de Joseph Campbell.

 de bonnet

les murs kiss sécrûlent sondé ponts pour tailleursssssssss
trafic kothé par moizo     inspired de Newton

ben bravo l'égars hein , yenna kisson danzune tout totre  énergie


ben ui gêle droit dêtre tunpeu serre rieuse hein
allez zou le bis zou de bonui  

"Si homme blanc couper boucoup bois, l'hiver sera boucoup rude"

proverbe Outuv Kantuv

cépar l'adresse que veau le buche'héron paparla force  
Homme -mère, Liliade  héloooooooooooox dix sééééééééééé    

Le temps passe,
les images d’une vie trépidante défilent plus vite que les souhaits qui nous animent,
les rides se creusent, la peau se flétrit et se tâche, le pas se fait lourd, la mémoire s’effrite, le geste devient plus calculé,
et pourtant les projets se pressent à la porte de la chambre de nos désirs,
nous ne pouvons hélas tous les étreindre pour nous réaliser,
de là naît cette soif qui nous dessèche et tarit le puits de l’espérance enfoui en nous,
alors surgissent les souvenirs, ces moments furtifs de bonheur comme autant de pellicules jaunies, des regrets et parfois des remords qui érodent les berges de nos certitudes et de nos tranquillités apparentes,
puis les agressions incessantes de pensées contraires, qui nous assaillent et provoquent ces « marées nostrum !» d’équinoxes  printanières permanentes…….
E la nave va per tutti noi…..

il suffit pourtant de se pencher dans ce puits et de regarder notre visage reflété par la surface de l’eau
pour y déceler la lumière de notre regard et cette étincelle qui vient du fond de notre âme,
cette lumière a le pouvoir d’apaiser la surface de l’eau , le calme du miroir renvoie une image plus nette,
ce n’est plus moi que je vois, ce n’est plus « l’ego sum, ego existo » c’est autre chose qui vient de loin et me semble étrange………
Le calme me pénètre lentement …..Je ne vois plus la surface de l’eau…. Et suis attiré par ce puits de lumière infini qui m’ouvre une voie nouvelle que je ne soupçonnais pas…….
Il verbo mi porse la mano…..

bien enregistred map

de Victor Hugo
♪ la musique est la vapeur de l'art   elle est à la poésie ce que la rêverie est à la pensée, ce que le fluide est au liquide ce que l'océan des nuées est à l'océan des ondes ~~~
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« Si nous n’écrivions jamais rien d’autre que ce qui est déjà compris, le domaine de l’entendement ne grandirait jamais »
Ezra Pound

Situ telle et faune à une voix yante ékel ne d'haie croche patavant queue sa sonne, rat kroche
JC Van dame

« Je ne suis pas moi.
Je suis celui
qui va à mes côtés sans le voir
que parfois je vais voir
et que parfois j’oublie.
Celui qui se tait serein quand je parle
celui qui doucement pardonne quand je hais
celui qui se promène où je ne suis pas
celui qui restera debout après ma mort. »

***

Juan Ramón Jiménez (1881-1958)

... peau aime de canton nez thé ptit, le maime aujourd'hui    

« Sur les chemins sans risques on n'envoie que les faibles. »
Hermann Hesse ( Le jeu des perles de verre )